Le tri des déchets progresse !

Depuis le 1er octobre 2022, les habitants du territoire métropolitain n’ont plus de questions à se poser : tous les emballages ménagers et les papiers vont dans le bac de tri, en vrac, bien vidés, non imbriqués, sans les laver. Une simplification qui rend le geste de tri plus cohérent et efficace. Deux ans après cette généralisation, les chiffres sont encourageants à l’échelle du territoire et augurent de belles avancées.
bilan-ECT-2024

Entre 2019 et 2022, la Métropole, en partenariat avec Citeo et SUEZ, a généralisé et harmonisé ses consignes de tri afin de faciliter la compréhension, augmenter les performances du recyclage et être en conformité avec la réglementation. Désormais, tout emballage, quelle que soit sa nature, part dans la poubelle jaune.

Des progrès notables

Chargée de la collecte des déchets, la Métropole s’appuie sur 61 sites dont 59 déchèteries et 2 déchèteries mobiles. 8 500 colonnes de tri, plus de 200 000 bacs de collecte sélective et deux centres de tri concourent à leur valorisation. L’ambition : une Métropole « zéro déchet, zéro gaspillage » avec une diminution de 10 % du ratio annuel des déchets ménagers par habitant en 10 ans.

Les moyens déployés permettent de constater une progression des performances de tri des emballages ménagers et papiers (+ 13 % depuis 2018), du verre mais également une réduction des ordures ménagères résiduelles.

37,8 kg de déchets recyclés par an et par habitant

Financement d’une partie de la modernisation du centre de tri du Jas-de-Rhodes aux Pennes-Mirabeau, qui traite chaque année 40 000 tonnes de déchets avant d’être acheminés vers les usines de recyclage, ajout de nouveaux points d’apport volontaire pour le carton, le verre et les emballages en général… La Métropole et Citeo sont à l’origine de nombreuses actions visant à densifier et optimiser le maillage du territoire.

Dans les Bouches-du-Rhône, un habitant recyclait en moyenne 37,8 kg de déchets par an en 2023. En France, 67 % des emballages ont été valorisés, soit plus de 3,6 millions de tonnes. Le rejet dans l’atmosphère de 2,3 tonnes de CO2 a ainsi été évité, soit 523 allers-retours Paris-Marseille en TGV.

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